La cavalerie d'Afrique
(sur l'air des Trompettes d'Aïda de
Verdi)
C'est nous (echo bis) les descendants
des régiments d'Afrique,
Les chasseurs, les spahis, les goumiers (et les goumiers).
Gardiens (echo bis) et défenseurs
d'empires magnifiques,
Sous l'ardent soleil, chevauchant, sans répit, leurs fiers
coursiers.
Toujours prêts à servir, à vaincre ou à mourir,
Nos coeurs se sont unis, pour la Patrie.
Trompettes (echo bis) au garde à vous
sonnez, sonnez à l'étendard,
Et que fièrement dans le ciel montent nos trois couleurs (nos
trois couleurs).
Le souffle (echo bis) de la France anime
la fanfare,
Et met à chacun un peu d'air du pays au fond du coeur.
C'est notre volonté, de vaincre ou de lutter,
De consacrer nos vies à la Patrie.
La piste (echo bis) est difficile et
toujours nous appelle.
Par les Monts pelés de Taza, de Ksar'souk, de Midelt (et de
Midelt).
L'élan (echo bis) de Bournazel vers le
Tafilalet,
Sur les Ksours alliés plantera fièrement nos trois couleurs.
Ensemble (echo bis) nous referons
gaiement flotter nos étendard,
Et suivrons partout hardiment l'éclat des trois couleurs.
Ensemble (echo bis) nous reprendrons
demain le chemin du départ,
Et pour le pays serons prêts à lutter sans nulle peur.
Soldats, (echo bis) toujours devant,
toujours la tête haute,
Nous serons présents sous la pluie, dans le vent en avant !
L'ennemi (echo bis) nous trouvera le
coeur plein de courage.
Et dans ce combat glorieux revivront tous nos héros.